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A propos

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Mission

La mission de SIGNIS est : De s’engager aux côtés des professionnels des médias et soutenir les communicateurs catholiques Pour contribuer à transformer nos cultures à la lumière de l’Evangile En promouvant la dignité humaine, la justice et la réconciliation   SIGNIS est une association non gouvernementale qui compte des membres dans plus de 100 pays du monde. En tant qu’Association catholique mondiale pour la communication, elle regroupe des professionnels de radio, télévision, cinéma, vidéo, éducation aux médias, internet et nouvelles technologies. SIGNIS est née en novembre 2001 de la fusion de deux organisations (Unda, pour la radio et la télévision ; OCIC, pour le cinéma et l’audiovisuel) qui avaient été créées dès 1928. Ses programmes très diversifiés couvrent des domaines comme la promotion de films ou de programmes de télévision (jurys dans les grands festivals : Cannes, Berlin, Monte-Carlo, Venise, Ouagadougou...), la création de studios de radio, de vidéo, de télévision, la production et la distribution de programmes, la fourniture d’équipements spécialisés, la formation de professionnels... L’objectif premier de toutes ces activités est de promouvoir une Culture de Paix à travers les médias. Puisque construire la paix dans le monde d’aujourd’hui implique nécessairement les médias, SIGNIS et ses membres se sont engagés à exploiter le pouvoir des médias pour promouvoir la paix : Par l’éducation aux médias : en aidant à développer la capacité du public, et surtout les jeunes, à acquérir une attitude active, une distance critique, et une liberté de faire des jugements informés et réfléchis sur les médias Par le plaidoyer : en soutenant l’indépendance des médias dans des situations de conflits et ceux qui travaillent dans la lutte pour la liberté d’expression et les droits de l’homme. En fournissant un lieu pour un dialogue interreligieux et interculturel ainsi qu’un débat démocratique. En promouvant des représentations justes et correctes des différents groupes de la société et d’ouvrir la possibilité à tous de participer pleinement dans le processus de communication, particulièrement les personnes et les régions les plus pauvres. En travaillant pour aider à développer la capacité des médias à mettre les individus, les groupes et les personnes en communication les uns avec les autres En organisant, soutenant et promouvant des événements qui encouragent une Culture de Paix. Vous pouvez télécharger ici les statuts civils et canoniques de SIGNIS. Statuts Canoniques de SIGNIS Statuts Civils de SIGNIS
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Structure

SIGNIS est une association à portée mondiale. Ses membres sont des associations nationales groupées par région du monde. Il y a six régions : l’Afrique, l’Amérique latine, l’Amérique du Nord, le Pacifique, l’Asie et l’Europe, ainsi qu’un groupe international (composé d’organisations internationales). De plus, des individus et des institutions peuvent devenir des membres associés. Comptant en son sein des représentants de toutes les régions, le Conseil d’administration est responsable des orientations stratégiques de SIGNIS. Ses membres sont élus au cours d’Assemblées régionales ou mondiales. Les décisions du Conseil d’administration doivent être avalisées par l’Assemblée des Délégués. Outre les membres du Conseil, cette Assemblée est composée de 6 représentants de chaque région et du groupe international. Les Délégués de SIGNIS sont élus au cours d’Assemblées régionales, pour un mandat de 4 ans. SIGNIS possède deux centres administratifs, le secrétariat général à Bruxelles et SIGNIS Services Rome, basé au Vatican. Sous-rubriques Conseil d’Administration Assemblée des Délégués Membres Secrétariat Général SIGNIS Services Rome
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Congrès Mondial

Tous les quatre ans, l’Assemblée des Délégués de SIGNIS se réunit pour élire ou ré-élire ses présidents, Vice-présidents et Secrétaire Général. Cette réunion est dès lors une opportunité pour rassembler les membres de l’association venant du monde entier. Organiser un Congrès en même temps que l’Assemblée est une chance de renouveler et de revigorer les membres de SIGNIS, par des discussions de vive voix, l’exploration de thèmes communs et le partage d’expériences. Ils sont également mis au défi de répondre aux changements de la société et des médias. Les prédécesseurs de SIGNIS, OCIC et Unda, ont tenu leurs premiers Congrès en 1929 et, dès 1980, ont réunis leurs Congrès. Le premier Congrès de SIGNIS s’est tenu à Rome en 2001, avant de se tenir à Lyon (2005), Chiang Mai (2009), Rome (2014) et Québec (2017). Le prochain se tiendra à Séoul, en 2021.
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Patron : Romero

Patron : Romero

Lors du Conseil d’administration de SIGNIS qui s’est tenu fin mai 2015 à Port of Spain (Trinidad et Tobago), les membres du Conseil ont approuvé la proposition de nommer l’ancien archevêque du Salvador, récemment béatifié, Mgr Oscar Arnulfo Romero en tant que patron de SIGNIS.  Cette décision est due à son dévouement et son courage exemplaire dans la défense des pauvres et des opprimés. Il est un exemple pour tous les communicateurs, quelqu’un qui a vécu les valeurs qu’il enseignait et préférait perdre la vie plutôt que de rester silencieux face à l’injustice.
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Personnalités

Dans cette rubrique, vous trouverez des portraits, des interviews et des articles sur des membres de SIGNIS ou d’autres personnalités qui font l’actualité dans le domaine des communications catholiques.
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Rapport Annuel

SIGNIS publie des rapports annuels sur ses activités. Le rapport annuel 2020 peut être téléchargé en PDF ici. Il est également disponible en ligne ici.
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Histoire

SIGNIS est née en novembre 2001 de la fusion de deux organisations (Unda, pour la radio et la télévision ; OCIC, pour le cinéma et l’audiovisuel) qui avaient été créées dès 1928. Elles avaient la même intention : rassembler des catholiques travaillant déjà comme professionnels dans le milieu du cinéma pour l’OCIC et dans le milieu de la radio, puis de la télévision pour Unda. L’intérêt des catholiques envers ces médias est compréhensible. Il s’agit de moyens de communication de masse qui, à travers leurs productions, répandent des vues et des opinons sur la vie et sur le monde. C’est pourquoi ils entrent automatiquement dans le domaine de ceux qui se préoccupent de l’éducation (religieuse, familiale ou autre) et des valeurs. Il faut souligner que dès l’arrivée du cinéma commercial en 1895-1896, des catholiques ont été engagés d’une manière ou d’une autre dans le développement de ce médium. Comme le cinéma commercial se répandait très vite et comme il constituait une grande attraction pour la jeunesse, un des moyens d’éviter qu’elle aille chercher cette distraction en dehors de l’Eglise était de créer la possibilité de voir des films dans le milieu ecclésiastique, ce qui fut fait dès avant les années vingt. Il a dès lors fallu créer des organisations nationales qui pouvaient s’occuper de sujets comme l’enfance et le cinéma, la critique de film (une forme ancienne d’éducation aux médias). L’OCIC a également exprimé son intention de collaborer avec l’industrie du film. Il fallait particulièrement promouvoir des « bons » films, pour l’éducation et le divertissement. De la même manière, les producteurs de radio catholiques ont compris dès la fin des années ’20 que la radio allait devenir, comme le cinéma, un moyen important pour diffuser les idées, et pourrait dès lors influencer les opinions de millions de personnes et les connecter aux valeurs chrétiennes. Lors de son premier congrès international (1929), Unda a attiré l’attention sur l’importance de la radio pour la vie religieuse, culturelle et sociale. Dans cet esprit, Unda a invité les Catholiques à collaborer avec des entreprises de radio (privées ou publiques) dans la réalisation de programmes religieux et la diffusion des valeurs chrétiennes. Dans les années ’30, les diffuseurs catholiques à travers le monde avaient une vision optimiste du développement de la radio et, plus tard, du nouveau média qu’était la télévision. Ces médias pouvaient traverser les frontières et rassembler les peuples et les cultures. Ils pourraient être un moyen d’échanger des valeurs culturelles, une manière de forger une compréhension mutuelle. La radio était pensée comme le média par excellence pour réconcilier les peuples, favoriser l’amitié entre les nations et promouvoir la paix. Comme l’OCIC, Unda a développé plusieurs aspects de l’éducation aux médias. Après la Deuxième Guerre mondiale et les décades suivantes, ces principes ont trouvé de nouvelles expressions dans les domaines du cinéma, de la radio et de la télévision. Dès les années ’60, Unda et OCIC ont commencé à tenir des réunions et des assemblées communes et ont incorporé le travail des médias locaux. Les années 80 ont vu la prolifération de la vidéo, très vite suivi par le rapide développement des technologies de l’information et la croissance des médias numériques et d’internet. Puisque de nombreux membres de Unda et de l’OCIC ont travaillé dans plusieurs médias, et que le ministère des médias était cross-média, la nécessité d’une association catholique pour les médias audiovisuels s’est renforcée, menant à la fusion de Unda et de l’OCIC et à la création de SIGNIS, le 21 novembre 2001. Pour en savoir plus sur l'histoire d'OCIC et de l'Unda, vous pouvez télécharger ces 2 documents : OCIC/Unda : les origines & OCIC/Unda : les premières activités internationales.
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